Des mauvais garçons ?
Des mauvais garçons ? Pas encore… Il faut pourtant être prudent. L’exode rural massif vers Phnom Penh met la société Cambodgienne dans une situation nouvelle, incertaine, précaire. Le développement rapide permet actuellement toujours de garder l’équilibre. Un peu comme sur un vélo, disons métaphorique dans notre cas, il faut pédaler au risque de tomber. Actuellement tous les Cambodgiens pédalent/ travaillent avec un taux de chômage extrêmement bas, l’un des plus bas du monde. Si le travail venait à manquer, ces petits gars qui ne sont aujourd’hui qu’un peu désœuvrés, pourraient tomber dans on ne sait quel type de délinquance.
Des lieux comme le nôtre ont tout leur sens, vraiment. Cette présence dans le monde des travailleurs, des petits et des modestes n’est que trop rare.
Nous aidons ces « mauvais garçons » potentiels à garder un cap positif.